lundi 28 novembre 2011

Du 25 novembre au 6 décembre, c'est les journées d'action contre la violence faite aux femmes

La violence faite aux femmes est inacceptable, peu importe la forme que prend cette violence. La Fédération des femmes du Québec a produit cette vidéo qui met en scène plusieurs stéréotypes qui entourent encore la violence faite aux femmes. Partagez cette vidéo et dites non à la violence faite aux femmes!




mercredi 23 novembre 2011

Plan Accès Justice - Le ministre de la Justice annonce une hausse importante du nombre de juges pour accélérer la cadence des causes entendues devant les tribunaux


QUÉBEC, le 23 nov. 2011 /CNW Telbec/ - Le ministre de la Justice et Procureur général, M. Jean-Marc Fournier, a présenté aujourd'hui à l'Assemblée nationale le projet de loi n43 modifiant la Loi sur les tribunaux judiciaires, lequel propose d'augmenter la capacité des tribunaux à entendre des causes et à rendre des jugements. 


Tant en matière civile qu'en matière criminelle, les affaires devant les tribunaux se complexifient, les preuves documentaires sont de plus en plus volumineuses et les délais s'allongent.


À la Cour du Québec, le nombre de juges passerait de 270 à 290, restaurant ainsi les 20 postes abolis en 1997 par le gouvernement de l'époque. De ce nombre, 4 nouvelles fonctions de juges coordonnateurs adjoints seraient créées. Enfin, selon les mesures proposées, le gouvernement donnerait la possibilité, à la demande du juge en chef, d'autoriser des juges de paix magistrats à la retraite à exercer temporairement des fonctions judiciaires.


À la Cour supérieure, le projet de loi prévoit, dès son adoption, 7 postes de juges supplémentaires, de manière à ce que le Québec soit prêt à les accueillir sans délai lorsque la loi fédérale sur les juges aura été modifiée à la suite des demandes d'effectifs du juge en chef de la Cour supérieure. Le ministre Fournier a fait part à son homologue fédéral des changements proposés dans le projet de loi.


« Cette hausse du nombre de juges suit l'augmentation du nombre de policiers et de procureurs survenue au cours des dernières années, pour lutter encore plus efficacement contre la criminalité. Elle permettrait aussi de réduire les délais du système de justice, tant en matière civile et familiale, que jeunesse. Au final, c'est la capacité des citoyens à faire valoir leurs droits qui s'en trouverait renforcée. C'est une avancée majeure pour l'accès à la justice », a déclaré le ministre de la Justice.


Cette annonce du ministre de la Justice s'inscrit dans le cadre du Plan Accès Justice lancé le 29 septembre dernier. Ce plan prévoit une série de mesures qui seront graduellement mises en place au cours des prochains mois pour offrir aux citoyennes et aux citoyens du Québec un meilleur accès, plus rapide et moins coûteux, au système de justice.


Pour plus de renseignements, la population peut consulter le site Internet du ministère de la Justice ou se rendre directement à www.planaccesjustice.ca

mardi 22 novembre 2011

Le consentement en contexte de contacts sexuels et de sexting lors de l'adolescence

Madame Francine Lavoie, Ph. D. et chercheure à l'université Laval, en partenariat avec Entraide jeunesse Québec, sont à la rechercherche d'intervenantEs majeurEs ayant une expérience de travail psycho-social auprès d’adolescents et adolescentes de 14 à 18 ans afin de développer un outil de sensibilisation qui s'adresse aux jeunes sur la notion de consentement sexuel.

Vous répondez à ces critères et vous souhaitez mettre votre expertise à contribution? Vous trouverez toutes les informations sur ce projet ici

Formations sur l’accompagnement des victimes souffrant de stress post-traumatique

Devant la demande pour leurs formations sur l’accompagnement des victimes souffrant de stress post-traumatique, dispensées par Dre Pascale Brillon, l'Association québécoise plaidoyer-victime a ajouté de nouvelles dates de sessions.

1-     L’accompagnement des victimes souffrant de stress post-traumatique - Niveau 1

 Montréal – 26-27 janvier 2012
2- L’accompagnement des victimes souffrant de stress post-traumatique - Niveau intermédiaire

Trois-Rivières – 6-7 février 2012
3-     Mon client souffrant de stress post-traumatique ne s’améliore pas : pourquoi et quoi faire? Niveau avancé

Montréal – 28-29 mai 2012
Certaines conditions s’appliquent en fonction des différents niveaux de formation. Veuillez consulter le document joint pour en prendre connaissance.

Voici tous les détails sur la programmation, de même que la fiche d’inscription sont joints ici. Il est aussi possible de les télécharger au www.aqpv.ca
Merci de faire circuler dans votre réseau !
Katia Leroux
Agente de recherche et d'information
Association québécoise Plaidoyer-Victimes
Tél.: 514.526.9037
Téléc.: 514.526.9951
Courriel: kleroux@aqpv.ca
www.aqpv.ca

Lancement de la vidéo documentaire Nikh du Bouclier d'Athéna


Les intervenantes du Bouclier d'Athéna sont heureuses de vous convier au lancement de leur vidéo-documentaire Nikh (Victoire): Del'ombre à la lumière.

Le visionnement aura lieu à l'Office nationale du film, le 28 novembre prochain de 16h00 à 18h00.

Merci de contacter Maud Pontel pour réserver votre place, la capactié de la salle est de 140 sièges, faites vite!

Merci de faire circuler l'information dans vos réseaux et au plaisir de vous y voir!

Bonne journée

Maud Pontel
Coordonnatrice à la sensibilisation
Bouclier d'Athéna Services familiaux
(514) 274 8117

Projet de loi de l'ADQ - Sylvie Roy propose la dénonciation obligatoire de la pornographie juvénile

 Québec
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Projet de loi de l'ADQ - Sylvie Roy propose la dénonciation obligatoire de la pornographie juvénile
QUÉBEC, le 9 nov. 2011 /CNW Telbec/ - La députée de Lotbinière et leader parlementaire de l'Action démocratique du Québec, Mme Sylvie Roy, a annoncé ce matin qu'elle déposera sous peu un projet de loi visant à rendre obligatoire la dénonciation de la pornographie juvénile.


« Au cours des dernières années, les cyberprédateurs ont développé de nouvelles techniques pour échanger de la pornographie juvénile et les sites de clavardage se sont multipliés. Toutefois, le gouvernement n'a pas adapté le cadre législatif à cette nouvelle réalité. Autrement dit, le terrain de chasse des prédateurs sexuels s'est agrandi, mais on ne s'est pas donné les outils pour les contrer », a dénoncé la députée adéquiste.


« Afin de freiner l'expansion de la pornographie juvénile sur le Web, j'ai l'intention de déposer un projet de loi visant à rendre obligatoire la dénonciation de cette dernière par ceux qui en sont témoins. Une telle loi existe dans 4 provinces canadiennes et les résultats observés sont tangibles. Au Manitoba, par exemple, on a assisté à une augmentation de 126% des dénonciations dans la province », a ajouté Sylvie Roy.


Rappelons que la leader parlementaire de l'ADQ a questionné le Ministre de la Sécurité Publique, M. Robert Dutil, à ce sujet aujourd'hui. Ce dernier n'a pas voulu dire s'il allait appuyer le projet de loi adéquiste. « J'espère que le gouvernement libéral donnera suite favorablement à notre demande et démontrera une véritable volonté à lutter contre ce fléau », a conclu la députée de Lotbinière.



Battre sa femme est désormais légal au Kansas


Il n'y a pas qu'au Canada où les instances gouvernementales se lancent la balle pour régler la facture du judiciaire. À Topeka, la capitale de l'état du Kansas, aux États-Unis, le maire de la ville vient de poser un geste draconien à l'égard des personnes victimes de violence conjugale. En effet, il vient d'abolir le crime de violence conjugale, car son comté n'a pas les moyens de payer les frais relié aux procédures judiciaires reliées à ces délit. Ce geste politique visant à faire pression sur l'état du Kansas aura un impact sur la vie de bien des victimes de violence conjugale, car tous les crimes commis durant cette période ne seront pas considérés comme des crimes. 

Alors qu'on sait que les personnes victimes de violence conjugale mettent souvent beaucoup de temps avant de dénoncer leur situation, avant d'aller chercher de l'aide, quel message envoie-t-on à ces personnes? Que leur sécurité est négociable pour régler des conflits politiques?

Pour en connaître plus sur cette histoire, vous pouvez lire un article sur le sujet ici.

En attendant, nous vous rappelons qu'au Québec et au Canada, la violence conjugale est considérée comme un crime. Si vous avez besoin d'aide, n'hésitez pas à consulter les ressources de votre région. Vous pouvez aussi en apprendre un peu plus sur la violence conjugale dans les sections de notre site Web.

*** Merci à Karine Bonin du Service Correctionnel du Canada pour la transmission de cette nouvelle.

mardi 1 novembre 2011

Le Comité-conseil en matière de violence conjugale au Comité interministériel de coordination en matière de violence conjugale, familiale et sexuelle réclame le maintien du Registre des armes à feu et la sauvegarde des informations qu’il contient

Montréal, le 27 octobre 2011. Nous, membres du Comité-conseil en matière de violence conjugale au Comité interministériel (gouvernement du Québec ) de coordination en matière de violence conjugale, réunis le 26 octobre pour élaborer des recommandations pour le prochain plan d’action gouvernemental en matière de violence conjugale, demandons le maintien intégral du Registre des armes feu ainsi que la sauvegarde des données qu’il contient.

Ces données sont essentielles pour assurer la sécurité des victimes. L’abolition du Registre serait une perte importante d’outils de prévention et d’intervention en matière de violence conjugale. Rappelons que les policiers utilisent quotidiennement le Registre des armes à feu quand ils sont appelés à intervenir lors de situations de violence conjugale et lorsque les tribunaux ordonnent la saisie des armes à feu.

Nous demandons aux parlementaires canadiens de rejeter le projet de Loi C-19.

Nous demandons au gouvernement du Québec de mettre tout son poids dans la balance pour assurer le maintien de cet outil qui contribue à assurer le droit à la vie et à la sécurité tel que stipulé dans les chartes des droits et libertés québécoise et canadienne.

Sont signataires

Sylvain Lévesque, À cœur d’homme – Réseau d’aide aux hommes pour une société sans violence

Sylvie St-Yves, Agence de la santé et des services sociaux de Gaspésie/Iles-de-la-Madeleine

Chloé Deraiche, Alliance des maisons d’hébergement de 2e étape pour femmes et enfants victimes de violence conjugale

Christiane Patry, Association des centres jeunesse du Québec

Jean de Montigny, Association des directeurs de police du Québec

Arlène Gaudreault, Association québécoise Plaidoyer-Victimes

Melpa Kamatéros, Bouclier d’Athéna Services familiaux

Jacinthe Tessier, Centre d’aide aux victimes d’actes criminels

Karol O’Brien, Centre de solidarité lesbienne

Hélène Hauspied, Centre des femmes de Montréal

Monique Villeneuve, Comité communautés ethnoculturelles de la Table de concertation en violence conjugale de Montréal

Sylvie Pelletier, Confédération des organismes de personnes handicapées du Québec

Manon Monastesse, Fédération des ressources d’hébergement pour femmes violentées et en difficulté du Québec

Claudette Leblanc, Fédération des cégeps

Julie Laforest, Institut national de santé publique du Québec

Odile Boisclair, L’R des centres de femmes du Québec

Louise Riendeau, Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale

Marie-France Godin, Regroupement québécois des ressources de supervision des droits d’accès

Jean Poirier, Service de police de la Ville de Québec

Joane Turgeon, Jocelyne Jolin, S.O.S. Violence conjugale

Yasmina Chouakri, Table de concertation des organismes au service des personnes réfugiées et immigrantes – Volet Femmes.